- Depuis la restauration de l'indépendance de la Lettonie, le gouvernement letton a toujours respecté que la commémoration par l’État de ses soldats tombés au combat ait lieu le 11 novembre, le Jour de Lāčplēsis. Le 16 mars n’est pas un jour officiel de la commémoration en Lettonie. Ce jour- là les hauts fonctionnaires de l’État et les membres du gouvernement ne participent pas aux événements devant le Monument de la Liberté. La Lettonie, en tant qu’un pays démocratique, respecte et garantit la liberté d’expression et de la réunion.
- La Lettonie a toujours condamné les crimes des deux régimes totalitaires contre l'humanité, elle condamne l'Holocauste, ainsi qu’elle honore le souvenir des victimes des régimes totalitaires, en soutenant l'éducation, la commémoration et la recherche de l'Holocauste.
- Il est de notoriété publique que la Lettonie a connu l’occupation de deux régimes totalitaires – l'Union soviétique et l'Allemagne nazie. La Lettonie a été détruite en tant que pays et traînée dans la Seconde Guerre mondiale criminelle. Par le moyen d’une répression inhumaine, d’une terreur continuée, d’une intimidation et humiliation constante, le régime d'occupation nazi allemand, ainsi que le régime soviétique, contrairement à tout le droit international, ont forcé et mobilisé illégalement de nombreux citoyens lettons afin de rejoindre l'une ou l'autre de forces armées. Les destins des gens lettons étaient cassés, endommagés et ridiculisés. Cette injustice a été arrêtée, seulement en restaurant l’État aux années 90 du 20ème siècle.
- Les pages d’histoire ne sont pas écrites uniquement en noir et blanc, mais il est important de faire la distinction entre les auteurs du crime et le souvenir de ceux qui sont tombés au front. Il est important de ne pas poursuivre ces « lignes de front », mais de prendre conscience ensemble des leçons tragiques de l'histoire, sans la politisation, sans la radicalisation et sans tomber dans le piège de la provocation.
In a special informational material, historians explain 16 March